LeFantastique.Net
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
LeFantastique.Net


 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment :
ETB Pokémon Fable Nébuleuse : où ...
Voir le deal

 

 parlant de films…

Aller en bas 
+6
Tanaquil
mario aka blanc citron
Miss Mort
Vance
Nosferatu
pollux
10 participants
Aller à la page : Précédent  1, 2
AuteurMessage
Nosferatu
Guerrier(e)
Nosferatu


Nombre de messages : 791
Localisation : Besançon (France)
Date d'inscription : 01/07/2005

parlant de films… - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: parlant de films…   parlant de films… - Page 2 Icon_minitimeMer 21 Déc à 14:27

Tu as eu peur au moins... Exclamation
Revenir en haut Aller en bas
http://nosferatu90.canalblog.com/
pollux
Nain(e)
pollux


Nombre de messages : 327
Localisation : Gatineau, Québec
Date d'inscription : 04/07/2005

parlant de films… - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: parlant de films…   parlant de films… - Page 2 Icon_minitimeMer 21 Déc à 17:06

Ah! Mario, puisque tu es là, on fait face à un curieuse situation ces temps-ci. On parlait de différents films de possession, moi et Serena, et j'ai fini par évoquer un film que j'ai vu dans les années 1970, à Québec. Or, personne ne semble le connaitre ou s,en souvenir. Moi-même, je ne me rappelle presque rien.

Il s'intitulait «Le Démon aux tripes», et est sorti à peu près dans les années de L'Exorciste et de L'Antéchrist. Je viens de faire une brève recherche, et il semble que c'était un film italien et que son titre était «Chi sei?»

Ça te dit quelque chose?
Revenir en haut Aller en bas
http://claudebolduc.tripod.com/
Tanaquil
Guerrier(e)
Tanaquil


Nombre de messages : 671
Localisation : Besançon, France
Date d'inscription : 30/06/2005

parlant de films… - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: parlant de films…   parlant de films… - Page 2 Icon_minitimeMer 21 Déc à 20:59

La réponse de Mario est d'autant plus attendue que les informations glanées sur le Net sont contradictoires, quant à l'identité du ou des metteurs en scène, par exemple.

Les critiques, elles, ont l'air de pratiquer un exercice cher au ballet classique, celui du grand écart.

Chose sûre, c'est que Gabriele Lavia, le malheureux pianiste victime de son complexe d'œdipe dans «Profondo Rosso», y joue.

Depuis ce matin, le fins limiers de la Petite Boutique du Cinéma font des recherches à ce sujet.

Alors, Mario? Pronto? Pronto?
Revenir en haut Aller en bas
http://rernould.club.fr/_Auteurs/Gentilhomme.html
mario aka blanc citron
Lutin(e)
mario aka blanc citron


Nombre de messages : 57
Localisation : Québec
Date d'inscription : 28/07/2005

parlant de films… - Page 2 Empty
MessageSujet: BEYOND THE DOOR   parlant de films… - Page 2 Icon_minitimeJeu 22 Déc à 1:45

connu sous le nom BEYOND THE DOOR, vu il y a quelques années, je n'avait pas détesté, comme film réalisé dans le sillon de l'Exorciste, mais je n'en pas de souvenir plus précis. Je en connaissait pas le titre Québécois ! J'ai le film si ca vous intéresse... santa
Revenir en haut Aller en bas
http://www.clubdesmonstres.com
pollux
Nain(e)
pollux


Nombre de messages : 327
Localisation : Gatineau, Québec
Date d'inscription : 04/07/2005

parlant de films… - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: parlant de films…   parlant de films… - Page 2 Icon_minitimeVen 30 Déc à 18:27

J'ai vu hier le deuxième film de Rob Zombie, «The Devil's Rejects», et j'avoue que je suis déçu.

Certes, on a un beau catalogue d'atrocités, on retrouve trois des membres de cette attachante famille de «House of 1000 Corpses», quelques belles pointes d'humour, et le choix musical de Zombie est excellent, mais il me semble qu'il ne reste plus qu'un film d'étripage, de violence gratuite et de gros fusils.

Partie, l'atmosphère cauchemardesque, presque irréelle, du premier film.

Mais le pire pour moi, c'est qu'il n'y a pas un mot, pas une image sur ce qu'on a entrevu sous terre dans le premier film, ce qui ressemblait à des expériences abominables avec le docteur Satan. Rien. On ne sait toujours pas à quoi s'en tenir. Ce qui ouvrait peut-être la porte à des éléments fantastiques, ou plutôt SF à l'ancienne, n'est nulle part évoqué.

Bon, ça nous laisse un «slasher» honorable, mais il me semble qu'on était en droit de s'attendre à bien plus que ça. Des «slashers», il y en a des tonnes.
Revenir en haut Aller en bas
http://claudebolduc.tripod.com/
Passe-Montagne
Amibe



Nombre de messages : 1
Date d'inscription : 03/01/2006

parlant de films… - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: parlant de films…   parlant de films… - Page 2 Icon_minitimeMar 3 Jan à 18:22

Citation :
Pour moi ,le plus agaçant dans les remakes américains, c'est le besoin viscéral de tout expliquer. Exit le mystère et souvent exit l'ambiance et re-exit le fantastique. Le remake américain de Ring est exemplaire ace point, on évacue les éléments parapsychologiques à grands traîts et on doit tout comprendre à la fin, en plus il faut absolument éparger femme et enfant, autre différence majeure. Dans l'original et sa suite originale Rasen, la journaliste est morte au début du second film... impensable pour un producteur américain.

Il ne s'agit pas tant là à mon sens d'une spécificité purement américaine mais clairement occidentale. Ce n'est d'ailleurs pas condamnable, juste différent. En général, en France également, lorsqu'un livre ou un film donnent dans le fantastique sans, au final, expliquer de manière presque technique ("alors m'sieur Durand, là j'vous ai changé les bougies de préchauffage parce que franchement, c'était plus possible hein") le pourquoi du comment, bien souvent les lecteurs (ou spectateurs dans ce cas) crient à la facilité ou même au scandale pur et simple.

Dans la culture asiatique, le savoir passe souvent par des carcans stricts dépourvus de sens au premier abord mais qui permettent, sur le long terme, à chacun de se forger sa propre "vision" de l'élément enseigné. En France (et aux US également), c'est différent, l'enseigné veut que l'enseignant "prouve" sa capacité, son savoir, son efficacité.

En art, c'est identique. Là où le japonais ne rechigne pas à se laisser prendre par la main pour aller cheminer sur du flou, l'occidental a souvent un viscéral besoin de comprendre l'univers qu'on lui dépeint. Ainsi rassuré sur les facultés de l'auteur à lui mentir en lui donnant l'illusion du vrai, le lecteur peut ensuite s'abandonner complètement à l'histoire, presque comme s'il avait besoin de se convaincre que l'auteur n'est pas un imposteur.

C'est une réaction relativement compréhensible d'ailleurs et universelle.
Au Japon, les mêmes doutes persistent lorsque l'individu se présente en tant que seul détenteur d'un savoir ou seul auteur d'une oeuvre. Il faut, pour que la confiance aveugle existe, que l'auteur japonais soit le dépositaire d'une tradition qui ne demande plus de preuve quant à sa réalité. L'on respecte un Senseï parce que l'on connaît les Budo, non parce que l'on connaît réellement le maître qui vous les enseigne. C'est presque pareil dans le cinéma ou les Manga japonais. Le monde imaginaire des auteurs, les évènements, les phénomènes parfois paranormaux n'ont pas besoin d'être expliqués de façon complète et absolue, ils font partie de la tradition culturelle japonaise qui veut que le merveilleux (le surnaturel disons) soit considéré comme une manière poétique de conter.

En occident, l'approche est différente mais il ne s'agit pourtant pas uniquement d'une décision absurde et mercantile des "odieux" producteurs américains mais simplement d'une adaptation (ce qui ne veut pas dire juste traduire mais bien adapter une oeuvre à une autre culture, ce qui suppose que l'on connaisse alors les deux).

Les romans japonais par exemple ont très peu de succès en occident (à l'inverse des romans américains). Pourquoi ? Tout simplement parce qu'ils sont culturellement moins lisible pour l'occidental (ce qui évidemment ne juge en rien de leur qualité intrinsèque).

Bref, c'est un vaste débat mais le réduire au simple affairisme des producteurs américains me semble un peu trop caricatural. Nous ne pouvons aimer que ce que nous comprenons (ce qui est "compris" en nous, ce qui fait partie de nous donc étymologiquement), et il est plus simple d'adapter un film à une culture donnée que d'espérer que 2 ou 3 millions de spectateurs fassent l'effort de se documenter avant d'aller le voir. Ils n'en ont tout simplement ni l'envie ni le temps pour la plupart.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





parlant de films… - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: parlant de films…   parlant de films… - Page 2 Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
parlant de films…
Revenir en haut 
Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2
 Sujets similaires
-
» Les vieux films fantastiques
» www.svbell.com | Films cultes, et stock hot hot hot!

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
LeFantastique.Net :: Cinéma :: Films-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser